La Nuit Blanche 2009 aux Buttes-Chaumont

J'avais de grands projets pour cette 8ème Nuit Blanche parisienne, de belles ambitions même. Une programmation énorme, répartie dans trois quartiers que j'aime beaucoup (Châtelet/le Marais, le quartier latin et le 19ème autour des Buttes-Chaumont), c'était alléchant et j'étais d'appétit à avaler les kilomètres à vélo pour couvrir un maximum de lieux.

Sauf qu'il y avait une chose que je n'avais pas prévue et qui est venue ruiner tout mon programme de la soirée. C'est de tomber littéralement amoureuse des oeuvres disséminées dans le parc des Buttes-Chaumont, transfiguré en fête foraine crépusculaire et illuminé d'un clair de lune voilé de nuages. Le résultat : plus de deux heures de flânerie et quelques photographies qui, je l'espère, laissent un peu transparaître la magie du lieu et de l'instant.
















Le charme a mis longtemps avant de se dissiper mais j'ai tout de même poursuivi ma ballade dans l'arrondissement, le temps de découvrir les oeuvres installées à l'espace Pailleron, place de la bataille de Stalingrad, au gymnase Jean Jaurès, au Centquatre et le long du canal Saint-Martin. Toutes les photos sont ici.



Photos de l'auteur
1, 2, 3, 4, 11, 12 et 13 : installation de Noël Dolla, Chauds les marrons aux Buttes Chaumont 1789 - 2009, 220 ans de rêves
5 et 6 : installation de Vincent Olinet, Ma fête foraine
7 et 8 : installation de Nathan Coley, There will be no miracles here
9 et 10 : installation de Rune Guneriussen, Don't leave the lights on